J’y suis allée à pieds, j’en avais assez de Berlioux, et DUNOIS ou HEBERT, impossibles à cause de la grève . J’ai donc suivi la Seine, sur les quais rive gauche, le vieil itinéraire archi connu – Seuls changent les ciels, et les promeneurs, le reste semble immuable, les immeubles de l’autre coté du fleuve, les vieilles pierres, l’eau de la Seine, plus ou moins haute quand même, et les péniches, à demeure …
Beaucoup de vélos, qui foncent au hasard … le mieux est de ne pas bouger, quand un vélo fonce sur vous … Je note qu’il y en a de plus en plus, qu’ils font ch… absolument partout maintenant, et qu’il n’y a pas moins de bagnoles, au contraire, il y en a PLUS … Tu m’étonnes ! ! !
Oui, je suis une vieille c… rétrograde, je suis résolument contre les vélos … D’abord c’est dangereux … Mélangés aux bagnoles et aux motos, mais c’est hyper dangereux … La seule solution, on est bien d’accord, c’est de rouler sur les trottoirs … Et comme sur les trottoirs en principe c’est interdit … Eh bien, ne reste qu’une solution : abandonner le vélo … Ou le limiter aux pistes cyclables, à condition qu’elles soient bien séparées du reste… Impossible, n’est-ce pas ? Eh bien, on est d’accord …Le vélo est impossible en ville …
Regardez, moi, comment je fais ? je marche, ou bien je vais en bus ou métro … En bus, et en marchant, j’écoute la radio, et en métro, je lis … Ca me permet de lire tout ce que je n’ai pas le temps de lire … le temps que je ne passe pas à slalomer entre les bagnoles ou les passants à vélo … Ou sur une moto … Ou dans une voiture (que de temps perdu, dans une voiture, on est obligé d’aller là où la voiture va, on ne peut pas, par exemple, rebrousser chemin illico, ou changer subitement d’itinéraire, alors qu’en marchant on peut …)
Je pense que je vais en killer un, de cycliste, un de ces jours … J’en peux plus, maintenant, au lieu de me fier au feu rouge pour traverser, de devoir passer la tête pour regarder entre les voitures, voire à contresens, si un c… de cycliste n’est pas en train d’arriver … j’en ai marre de devoir marcher le plus près possible des arbres ou du mobilier urbain, sur le trottoir, pour ne pas sentir le vent du boulet d’un c… de cycliste …
Ces réflexions concernent TOUS les cyclistes parisiens, qu’ils se fracassent TOUS contre quelque chose de dur, m’en fous … Sauf bien sur les quelques égarés qui roulent sur la chaussée et s’arrêtent aux feux rouges, ceux-là ont toute ma sympathie… En attendant leur disparition inéluctable à cause de quelqu’angle mort … Et sauf, bien sur, tous mes copains cyclistes -eux seuls- qui peuvent faire ce qu’ils veulent ! ! !
Et la séance, me direz-vous ? Lignes brise-vagues, à Le Gall, beaucoup de monde, j’ai dû faire mollement 800m, et encore ! Bah, c’est le repos dominical…
Vu une personne que je ne peux pas encadrer et dont j’ai constaté avec satisfaction qu’elle nageait comme une brême – toujours – Aucun progrès -reflet de son intellect limité …
Discuté avec quelques copains aussi …Toujours plaisant … 🙂