De Paris en piscine Le blog de Papillonista

ras le bol d’internet

Ras le bol d’internet, des mots de passe pour accéder à ceci ou cela, ras le bol, ras la casquette, ras la touffe, plus ch… tu meurs …

Ras le bol du « numérique », marre .

Aujourd’hui à la piscine, la bande rouge clignotante indiquait « baigneurs maximum autorisés : 179 « et « baigneurs présents 675 » …de temps en temps, le truc se remettait à l’inverse, qui était plus acceptable… la moitié du tourniquet est nase, et de toutes façons la caissière additionne toujours les tickets de cartes bleues à la main, pour avoir le total des entrées payées avec carte bleue ! incroyable, non ? on est traqués par les trucs numériques, les ordinateurs et toute la cliquaille surreprésentés, mais les caissières ne sont encore que des bêtes de somme obligées de faire des additions …

Sa Majesté Le Numérique et son mépris !

Là, ce soir je profite que mon mari est aux oubliettes pour aller sur des sites imprimer des trucs qu’autrefois on avait la bonté de m’envoyer : comme d’hab, ce que je mets sur une clef USB ressort en signes cabalistiques, et pas du tout comme la belle page internet que je veux imprimer …Il y a sans doute une manip à faire, mais c’est encore trop pour moi … 

Où est-il le temps où on rêvait de trucs poétiques ? il disparait lentement … 

La piscine : les bourrons du dimanche : une dizaine de grands nageurs qui allaient vite et nageaient comme des sabots : j’avais envie de leur dire, la natation c’est d’abord la souplesse , pas la peine de donner des coups de partout et de bourrer, il s’agit juste d’économiser son mouvement pour aller le plus vite possible en délicatesse … 🙂 

Ca aussi ça m’a gonflé, les lignes sont le dévouloir(c’est l’ordinateur qui a créé ce mot, moi j’avais « défouloir » et déversoir » côte à côte) de fin de semaine : il n’y en avait pas un pour rattraper l’autre (question délicatesse). le bourrin veut dépasser à tous prix , et moi qui vient en face, je me prends des mains et des pieds dans la figure …En nageant, en plus, je « carresse » des morceaux d’humains qui font n’importe quoi dans le couloir d’à coté…des fois, on a la main dans une raie de fesse, ou sur une autre main, ou bien on attrape un pied … 🙂 

Ca me stresse quand il y a autant de gars qui nagent mal … 

Bon, j’ai un livre passionnant à lire  🙂

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