De Paris en piscine Le blog de Papillonista

Lundi 12 août, toujours la piscine Dunois, ça changera bientôt…

« Marre de toujours faire le même chemin », me confie mon Cheval  en broutant un insecte mutant  sur une feuille de macadam,  au carrefour de la rue Nationale… Nous chevauchions là, venant de la rue de Tolbiac, non sans remarquer l’élégante église Jeanne d’Arc, en plein milieu d’une petite place qui a de la peine à la conte hennir, pardon, à LA CONTENIR,  je veux dire,   🙂  et comme partout en France et à Paris, une clôture bien  sage  ceint l’église  Jeanne,  délimite un  petit espace, avec quelques petites plantations space,   aussi chétives  qu’une vieille mémé rétive… 🙂

Nous descendons vers DUNOIS, nous sommes dans le quartier  chinois,  tout de guingois à cet endroit,  de bric et de broc,  et TOC, avec néammoins,  au loin,  le métro  aérien… 🙂   eh oui, et tout cela est rassurant  (mon Cheval est en  forme,  et moi  aussi, je suis aux normes… aujourd’hui )… Nous  apercevons  quelques individus avec une main GANTEE  pour fouiller dans les  déchets, qu’ils  visitent  méthodiquement, rue après rue…  « Ils viennent tous de la même province chinoise, et logent tous dans le Val d’Oise »,  me dit ROSSIPHALE (c’est mon CHEVAL),  pour faire l’érudit malin,  celui qui lit  le journal le matin.. 🙂   » il y avait un excellent article dans la Revue Féconde, pardon, dans la revue du MONDE… »  « Ils sont trés utiles, pour aérer la ville »,  je réponds…Sur le même ton…

Nous sommes écolos, moi et mon bourrincot, et ainsi devisant,  et chevauchant  le macadam de la vieille Paname, par les rues nous allons jusqu’à la pistoche , sans anicroche…

La PISCINE :  Tranquille, au coeur de la ville,  le fait marquant fut que mon maillot, un SPEEDO pourtant tout neuf , exhalait une odeur de putois mouillé, trés particulière… Non ce n’était pas Papillonista qui sentait le putois, pas même mon Cheval, qui  dégage toujours une odeur d’eau de toilette musquée « Champ de Course », par Diorlain, je ne sais pas si vous connaissez,  non, c’était juste ce p.. de maillot, Sabre de bois, qui sentait le maillot macéré et roulé sous les aisselles comme dans le film…  Pour me consoler l’un des MNS m’a raconté une histoire de maillot :  Une fois il avait simplement roulé le sien dans son bonnêt sillicone, pour ne pas mouiller l’intérieur du sac, tout le monde connait ça..; 🙂  Il va boire une bière, il rentre chez lui, il oublie le maillot…Le lendemain une odeur… Il n’a jamais pu « récupérer » le maillot, m’a-t-il dit, il a eu beau le laver, rien à faire…  QUELLE GALERE  🙂 🙂

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